Noël 2009 reste un Noël de crise. Deloitte anticipe une baisse des dépenses pour les cadeaux, l’alimentaire et les sorties de 3,5%, après -5,1% en 2008, avec une préférence pour l’utile par opposition au futile.
Selon Pascale Hébel du Crédoc, les Français ont privilégié les proches et gâté en priorité les enfants.
Internet devrait être épargné: la Fédération du secteur prévoit un bond de 25% des ventes.
Les commerçants se préparent à enchaîner en janvier sur un autre temps fort de la consommation, les soldes. Mais ensuite, les Français devraient resserrer les cordons de la bourse, alors que le chômage devrait continuer à progresser en 2010.