De 1987 à 2008 elle fut pharmacienne dans le centre ville. Elle a rejoint l’équipe Municipale de Jean-Claude GAUDIN en 2001 en tant qu’Adjointe au Maire, pour se consacrer avec passion et enthousiasme au développement commercial de Marseille. En charge de dossiers comme celui du FISAC, Solange BIAGGI poursuit aujourd’hui sa mission avec le projet de rénovation du centre ville dans le cadre de la gouvernance partagée avec MPM. La Fédération Marseille félicite Mme Biaggi pour cette distinction et la remercie pour son soutien et son engagement au service de l’intérêt général.
Pour faire suite à notre entretien avec Eugène Caselli, Marseille centre a rencontré Christiane Argy, Directeur de la Prévention et Répression aux Infractions à la Propreté Urbaine le jeudi 23 juillet.
Cet entretien nous a permis de faire le point sur l’action engagée par les brigades de la propreté.
Pour résumer :
> Tous les commerces du centre ville ont été visités par des éco conseillers pour entendre les problématiques des commerces, pour un rappel aux règles et pour souscrire un abonnement lorsque cela s’avérait nécessaire .
> A ce jour, 2200 abonnements sont effectifs (commerces, associations, entreprises, établissements publics)
> 300 PV d’infractions entre le 2 mars et le 30 juin
> Des contrôles de nuit sont effectifs pour vérifier les conditions de présentation des déchets et leur volume
> Une réflexion est en cours pour la mise en place d’une collecte -sur abonnement- spécifique aux commerces de vente à emporter qui ferment leur établissement dans l’après-midi.
> Tous les commerces ne jouent pas le jeu malgré les rappels à l’ordre et les verbalisations (restaurants et artisans)
Une réunion spécifique vous sera proposée à la rentrée avec Mme Argy, nous restons à votre écoute pour lui signaler tous les dysfonctionnements relevés sur le terrain .
Laurent Vandamme et Christophe Baille ont évoqué avec Eugène Caselli, Président de Marseille Provence Métropole, les enjeux du centre ville à l’occasion d’un rendez-vous le 17 juillet dernier. A l’ordre du jour notamment, le dossier propreté sur lequel des insatisfactions demeurent. Des changements vont intervenir à la rentrée avec un transfert de compétences au privé sur le premier secteur, pour que le centre ville puisse être nettoyé 20 heures sur 24h à l’identique d’un centre commercial. Afin d’améliorer le travail d’information et d’identification des points problématiques Marseille Centre rencontre Christiane Argy, Directeur de la Prévention et Répression aux Infractions à la Propreté Urbaine ( police de la propreté ) ce 23 juillet. Nous restons mobilisés !
L’ouverture des commerces pourra se faire dans les communes dites « d’intérêt touristique » ou thermales ainsi que dans les grandes zones commerciales des agglomérations de Paris, Lille et Marseille.Le Sénat doit examiner à son tour à partir du 21 juillet cette loi, l’objectif étant que le texte soit définitivement adopté par le Parlement avant la fin de sa session extraordinaire, le 24 juillet. Engagé mardi, l’examen de ce texte a été marqué par une bataille de procédure et d’amendements menée par l’opposition, qui affirme qu’il généralise le travail dominical. La proposition de loi prévoit que le travail le dimanche est de droit, sans doublement de salaire ni repos compensateur, dans les communes d’intérêt touristique (quelque 500 d’après le gouvernement, dix fois plus selon l’opposition). Elle prévoit en revanche des contreparties (doublement de salaires, volontariat, repos compensateur) pour les nouveaux salariés des PUCE (périmètres d’usage de consommation exceptionnelle) des agglomérations de Paris, Lille et Marseille.
Isabelle Pasquet, nouvelle sénatrice communiste des Bouches-du-Rhône, mènera la nouvelle bataille législative contre le texte concernant le travail du dimanche en soulevant notamment la question de l’ouverture des crèches, restaurants d’entreprises, transports qui eux aussi devront ouvrir afin de répondre aux demandes des salariés. Une généralisation du travail du dimanche en quelque sorte.
De retour devant les députés, la nouvelle mouture – la quatrième – de la proposition de loi de Richard Mallié (UMP) est présentée par le gouvernement comme une version a minima.
En désaccord avec la droite sur l’étendue réelle des dérogations accordées aux zones touristiques, le PS va contester le texte qui, selon lui, ouvre la voie à une généralisation du travail dominical.
– Le nombre de dimanches pour lesquels un maire peut demander chaque année des dérogations d’ouverture est maintenu à 5. Dans ce cas, la rémunération perçue par le salarié doit être au moins égale au double de celle d’un jour de semaine. Elle s’accompagne d’un repos compensateur.
– Pour un chômeur, le refus de travailler le dimanche n’est pas un motif de radiation de la liste des demandeurs d’emplois.
– Les commerces de détail alimentaire sont autorisés à ouvrir le dimanche jusqu’à 13h.
– Les communes et zones touristiques disposeront de dérogations collectives et permanentes, sans contrepartie obligatoire pour le salarié.
Par décision du préfet, sur proposition du maire (ou du préfet à Paris), les commerces de détail peuvent, de droit, donner un repos hebdomadaire par roulement, pour tout ou partie du personnel, dans les «communes touristiques ou thermales et zones touristiques d’affluence exceptionnelle ou d’animation cultuelle permanente».
Actuellement, une telle dérogation, dont peut bénéficier uniquement un commerce lié au tourisme, «peut être» décidée mais n’est pas «de droit».
Le préfet doit être saisi par les conseillers municipaux selon des critères définis par décret.
– Les Périmètre d’usage de consommation exceptionnelle (Puce) auront des dérogations collectives ou individuelles et temporaires, valables 5 ans.
Dans les agglomérations de plus d’un million d’habitants, et en zone frontalière pour Lille, le préfet de région peut autoriser les établissements de vente au détail à déroger au repos dominical dans une zone caractérisée par des habitudes de consommation de fin de semaine.
C’est le préfet qui délimite le PUCE, sur demande du conseil municipal.
Les autorisations sont accordées au vu d’un accord collectif, qui en fixe les contreparties. En l’absence d’accord, elles sont accordées selon une décision unilatérale de l’employeur et approuvée par référendum des personnels concernés.
Chaque salarié travaillant le dimanche, sur la base du volontariat bénéficie d’un repos compensateur et perçoit une rémunération au moins égale au double de celle d’un jour de semaine. L’accord doit être écrit.
Les autorisations de dérogations sont accordées pour 5 ans.
Un employeur ne peut pas justifier un refus d’embauche seulement si le futur salarié ne veut pas travailler le dimanche. Un tel refus ne peut pas non plus constituer un motif de licenciement.
Le salarié peut demander à arrêter de travailler le dimanche, selon «l’évolution de sa situation». Soit les conditions sont fixées par un accord collectif; soit l’employeur demande chaque année au salarié s’il souhaite une priorité pour un emploi ne comportant pas de travail le dimanche.
La place Lulli devrait être entièrement rénovée avec un changement de mobilier urbain, une plantation d’arbres et une suppression des parkings voitures. Les containers et les parkings vélos devraient être installés sur un seul côté. La place devrait être fermée de l’autre côté et devenir semi-piétonne.
Le bas de la rue Sainte devrait être constitué d’un plateau unique goudronné avec caniveau central en calcaire sur le même modèle que celui de la rue Lulli. La rue Grignan, déjà en plateau, devrait être agrémentée de jardinières et dotée elle aussi d’un caniveau central.
« Notre objectif est de terminer ce projet avant la fin de l’année 2010, précise Yves Moraine, l’un des deux co-présidents de la Mission. Il constitue la première mise en oeuvre pratique de la mission ».
Concrètement, « l’idée est d’avoir une délibération commune Marseille Provence Métropole/Ville de Marseille fin septembre », ajoute Patrick Mennucci, co-président de la Mission.
Le coût du projet s’élève à 3 millions d’euros.
Dans le cadre de la gouvernance partagée, la Ville de Marseille prend en charge le montage du projet, l’éclairage et les espaces verts, la Communauté Urbaine finançant le reste des travaux.
Le Conseil Mondial de l’eau a fait son choix et c’est la ville de Marseille qui organisera et accueillera le 6e Forum mondial de l’eau en 2012.
Après le Maroc, les Pays-Bas ou encore le Japon, c’est donc la France qui sera en charge de ce rendez-vous international.
Le Conseil Mondial de l’eau a fait son choix et c’est la ville de Marseille qui organisera et accueillera le 6e Forum mondial de l’eau en 2012.
Après le Maroc, les Pays-Bas ou encore le Japon, c’est donc la France qui sera en charge de ce rendez-vous international.