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Marseille redessine son centre-ville

Star internationale de l’architecture aux 300 récompenses, dont le prix Priztker en 1999 qui est aux architectes ce que le Nobel est aux écrivains, le concepteur du viaduc de Millau s’attaque à un nouveau challenge de poids avec l’aménagement du coeur historique de la cité phocéenne. Je connais bien le Vieux-Port, c’est un espace remarquable. J’espère le rendre meilleur, affirme sans détours Norman Foster.

De fait, le projet concocté ne manque pas d’ambition. 

Ce n’est pas qu’un concours d’architecte, ni un simple concours de design, c’est le début de la politique de transformation du centre-ville de Marseille, s’enthousiasme le paysagiste Michel Desvigne, qui a notamment réalisé le parc de Greenwich à Londres ou encore la place centrale d’Almere aux Pays-Bas. 

Concrètement, la première partie articulée autour d’une zone englobant le quai des Belges devrait être opérationnelle en 2013, la seconde phase, une chaîne de parcs pour recomposer le paysage marseillais et sa façade maritime doit être achevée en 2020. 

Les concepteurs du projet ne partent pas de rien, notre port existe depuis 2 600 ans. Ce Vieux Port, nous l’avons protégé et nous souhaitons le moderniser en conservant l’essentiel, en gardant l’image du paysage urbain sans le défigurer, affirme de son côté le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin. 

Le coût financier de la première phase des travaux, jusqu’en 2013, est estimé à environ 24 millions d’euros. La deuxième phase est chiffrée à une quarantaine de millions d’euros. 

Le maintien de l’activité du port

Aujourd’hui, 80% du périmètre du plan d’eau n’est pas accessible au public. Il s’agit donc de rendre aux Marseillais l’accès à la mer sans dénaturer pour autant l’activité nautique de la ville. Pour ce faire, les aires techniques seront déplacées sur des estacades, sorte de quais flottants, tandis que les locaux des sociétés nautiques seront déplacés plus en arrière sous des ombrières, des structures basses destinées à se protéger d’un rayonnement solaire particulièrement présent dans la cité phocéenne. 

Le quai des Belges

Aujourd’hui, le quai des Belges, c’est neuf voies de circulation séparées par un terre-plein central. En 2013, il n’en restera que quatre, deux pour les voitures et deux pour les bus. Puis l’espace deviendra entièrement piéton avec seulement une emprise de deux voies de bus. Volontairement minéralisé pour rester fidèle à l’histoire urbaine et portuaire du lieu, c’est un sol pavé de granit qui accueillera les piétons. Une grande ombrière en sera l’élément clef. Il s’agit d’amener de l’ombre et du confort en gardant le caractère profond du port, dit encore Michel Desvigne.
La mise en lumière viendra conforter la majesté du lieu par l’utilisation de grandes mâtures qui offriront des effets de lumière jouant avec les reflets du port.


Le glacis du Fort Saint-Nicolas

Au pied du Fort Saint-Nicolas, où règne actuellement de manière anarchique l’échangeur routier conduisant notamment au tunnel du Vieux-Port et du Prado-Carrénage, s’étendra une vaste prairie en pente douce vers le port. Elle couvrira l’échangeur, dont certaines fonctions seront supprimées, et abritera de nouvelles activités comme un port à sec, une aire de stationnement pour les autocars ou encore un village nautique ainsi que des cafés et restaurants. 

VDM

La chaîne des parcs

Il s’agit de transformer l’ensemble des forts et terrains militaires en un vaste parc. D’une emprise comparable à celle du port, il s’agit surtout de recomposer le paysage végétal de Marseille et sa façade maritime. Il faut une mise en cohérence des lieux qui sont déjà là. Il manque aujourd’hui des maillons, des passages, des cheminements, explique Michel Desvigne. 

La recomposition de la circulation

Autour du Vieux-Port, l’objectif est de diminuer le trafic automobile de transit tout en conservant l’accessibilité aux parkings, de favoriser aussi le réflexe transports en commun. La réorganisation de la circulation automobile est en effet l’un des enjeux majeurs du projet. L’objectif est de ramener à terme les gens sur des parkings relais à l’extérieur du périmètre qui seront mis en continuité avec les transports en commun. Il s’agira aussi de créer autour du Vieux-Port un boulevard urbain largement végétalisé. 

VDM

Source Marseille.fr

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Marseille redessine son centre-ville

Star internationale de l’architecture aux 300 récompenses, dont le prix Priztker en 1999 qui est aux architectes ce que le Nobel est aux écrivains, le concepteur du viaduc de Millau s’attaque à un nouveau challenge de poids avec l’aménagement du coeur historique de la cité phocéenne. Je connais bien le Vieux-Port, c’est un espace remarquable. J’espère le rendre meilleur, affirme sans détours Norman Foster.

De fait, le projet concocté ne manque pas d’ambition. 

Ce n’est pas qu’un concours d’architecte, ni un simple concours de design, c’est le début de la politique de transformation du centre-ville de Marseille, s’enthousiasme le paysagiste Michel Desvigne, qui a notamment réalisé le parc de Greenwich à Londres ou encore la place centrale d’Almere aux Pays-Bas. 

Concrètement, la première partie articulée autour d’une zone englobant le quai des Belges devrait être opérationnelle en 2013, la seconde phase, une chaîne de parcs pour recomposer le paysage marseillais et sa façade maritime doit être achevée en 2020. 

Les concepteurs du projet ne partent pas de rien, notre port existe depuis 2 600 ans. Ce Vieux Port, nous l’avons protégé et nous souhaitons le moderniser en conservant l’essentiel, en gardant l’image du paysage urbain sans le défigurer, affirme de son côté le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin. 

Le coût financier de la première phase des travaux, jusqu’en 2013, est estimé à environ 24 millions d’euros. La deuxième phase est chiffrée à une quarantaine de millions d’euros. 

Le maintien de l’activité du port

Aujourd’hui, 80% du périmètre du plan d’eau n’est pas accessible au public. Il s’agit donc de rendre aux Marseillais l’accès à la mer sans dénaturer pour autant l’activité nautique de la ville. Pour ce faire, les aires techniques seront déplacées sur des estacades, sorte de quais flottants, tandis que les locaux des sociétés nautiques seront déplacés plus en arrière sous des ombrières, des structures basses destinées à se protéger d’un rayonnement solaire particulièrement présent dans la cité phocéenne. 

Le quai des Belges

Aujourd’hui, le quai des Belges, c’est neuf voies de circulation séparées par un terre-plein central. En 2013, il n’en restera que quatre, deux pour les voitures et deux pour les bus. Puis l’espace deviendra entièrement piéton avec seulement une emprise de deux voies de bus. Volontairement minéralisé pour rester fidèle à l’histoire urbaine et portuaire du lieu, c’est un sol pavé de granit qui accueillera les piétons. Une grande ombrière en sera l’élément clef. Il s’agit d’amener de l’ombre et du confort en gardant le caractère profond du port, dit encore Michel Desvigne.
La mise en lumière viendra conforter la majesté du lieu par l’utilisation de grandes mâtures qui offriront des effets de lumière jouant avec les reflets du port.


Le glacis du Fort Saint-Nicolas

Au pied du Fort Saint-Nicolas, où règne actuellement de manière anarchique l’échangeur routier conduisant notamment au tunnel du Vieux-Port et du Prado-Carrénage, s’étendra une vaste prairie en pente douce vers le port. Elle couvrira l’échangeur, dont certaines fonctions seront supprimées, et abritera de nouvelles activités comme un port à sec, une aire de stationnement pour les autocars ou encore un village nautique ainsi que des cafés et restaurants. 

VDM

La chaîne des parcs

Il s’agit de transformer l’ensemble des forts et terrains militaires en un vaste parc. D’une emprise comparable à celle du port, il s’agit surtout de recomposer le paysage végétal de Marseille et sa façade maritime. Il faut une mise en cohérence des lieux qui sont déjà là. Il manque aujourd’hui des maillons, des passages, des cheminements, explique Michel Desvigne. 

La recomposition de la circulation

Autour du Vieux-Port, l’objectif est de diminuer le trafic automobile de transit tout en conservant l’accessibilité aux parkings, de favoriser aussi le réflexe transports en commun. La réorganisation de la circulation automobile est en effet l’un des enjeux majeurs du projet. L’objectif est de ramener à terme les gens sur des parkings relais à l’extérieur du périmètre qui seront mis en continuité avec les transports en commun. Il s’agira aussi de créer autour du Vieux-Port un boulevard urbain largement végétalisé. 

VDM

Source Marseille.fr

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Marseille redessine son centre-ville

Star internationale de l’architecture aux 300 récompenses, dont le prix Priztker en 1999 qui est aux architectes ce que le Nobel est aux écrivains, le concepteur du viaduc de Millau s’attaque à un nouveau challenge de poids avec l’aménagement du coeur historique de la cité phocéenne. Je connais bien le Vieux-Port, c’est un espace remarquable. J’espère le rendre meilleur, affirme sans détours Norman Foster.

De fait, le projet concocté ne manque pas d’ambition. 

Ce n’est pas qu’un concours d’architecte, ni un simple concours de design, c’est le début de la politique de transformation du centre-ville de Marseille, s’enthousiasme le paysagiste Michel Desvigne, qui a notamment réalisé le parc de Greenwich à Londres ou encore la place centrale d’Almere aux Pays-Bas. 

Concrètement, la première partie articulée autour d’une zone englobant le quai des Belges devrait être opérationnelle en 2013, la seconde phase, une chaîne de parcs pour recomposer le paysage marseillais et sa façade maritime doit être achevée en 2020. 

Les concepteurs du projet ne partent pas de rien, notre port existe depuis 2 600 ans. Ce Vieux Port, nous l’avons protégé et nous souhaitons le moderniser en conservant l’essentiel, en gardant l’image du paysage urbain sans le défigurer, affirme de son côté le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin. 

Le coût financier de la première phase des travaux, jusqu’en 2013, est estimé à environ 24 millions d’euros. La deuxième phase est chiffrée à une quarantaine de millions d’euros. 

Le maintien de l’activité du port

Aujourd’hui, 80% du périmètre du plan d’eau n’est pas accessible au public. Il s’agit donc de rendre aux Marseillais l’accès à la mer sans dénaturer pour autant l’activité nautique de la ville. Pour ce faire, les aires techniques seront déplacées sur des estacades, sorte de quais flottants, tandis que les locaux des sociétés nautiques seront déplacés plus en arrière sous des ombrières, des structures basses destinées à se protéger d’un rayonnement solaire particulièrement présent dans la cité phocéenne. 

Le quai des Belges

Aujourd’hui, le quai des Belges, c’est neuf voies de circulation séparées par un terre-plein central. En 2013, il n’en restera que quatre, deux pour les voitures et deux pour les bus. Puis l’espace deviendra entièrement piéton avec seulement une emprise de deux voies de bus. Volontairement minéralisé pour rester fidèle à l’histoire urbaine et portuaire du lieu, c’est un sol pavé de granit qui accueillera les piétons. Une grande ombrière en sera l’élément clef. Il s’agit d’amener de l’ombre et du confort en gardant le caractère profond du port, dit encore Michel Desvigne.
La mise en lumière viendra conforter la majesté du lieu par l’utilisation de grandes mâtures qui offriront des effets de lumière jouant avec les reflets du port.


Le glacis du Fort Saint-Nicolas

Au pied du Fort Saint-Nicolas, où règne actuellement de manière anarchique l’échangeur routier conduisant notamment au tunnel du Vieux-Port et du Prado-Carrénage, s’étendra une vaste prairie en pente douce vers le port. Elle couvrira l’échangeur, dont certaines fonctions seront supprimées, et abritera de nouvelles activités comme un port à sec, une aire de stationnement pour les autocars ou encore un village nautique ainsi que des cafés et restaurants. 

VDM

La chaîne des parcs

Il s’agit de transformer l’ensemble des forts et terrains militaires en un vaste parc. D’une emprise comparable à celle du port, il s’agit surtout de recomposer le paysage végétal de Marseille et sa façade maritime. Il faut une mise en cohérence des lieux qui sont déjà là. Il manque aujourd’hui des maillons, des passages, des cheminements, explique Michel Desvigne. 

La recomposition de la circulation

Autour du Vieux-Port, l’objectif est de diminuer le trafic automobile de transit tout en conservant l’accessibilité aux parkings, de favoriser aussi le réflexe transports en commun. La réorganisation de la circulation automobile est en effet l’un des enjeux majeurs du projet. L’objectif est de ramener à terme les gens sur des parkings relais à l’extérieur du périmètre qui seront mis en continuité avec les transports en commun. Il s’agira aussi de créer autour du Vieux-Port un boulevard urbain largement végétalisé. 

VDM

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Star internationale de l’architecture aux 300 récompenses, dont le prix Priztker en 1999 qui est aux architectes ce que le Nobel est aux écrivains, le concepteur du viaduc de Millau s’attaque à un nouveau challenge de poids avec l’aménagement du coeur historique de la cité phocéenne. Je connais bien le Vieux-Port, c’est un espace remarquable. J’espère le rendre meilleur, affirme sans détours Norman Foster.
De fait, le projet concocté ne manque pas d’ambition. 
Ce n’est pas qu’un concours d’architecte, ni un simple concours de design, c’est le début de la politique de transformation du centre-ville de Marseille, s’enthousiasme le paysagiste Michel Desvigne, qui a notamment réalisé le parc de Greenwich à Londres ou encore la place centrale d’Almere aux Pays-Bas. 
Concrètement, la première partie articulée autour d’une zone englobant le quai des Belges devrait être opérationnelle en 2013, la seconde phase, une chaîne de parcs pour recomposer le paysage marseillais et sa façade maritime doit être achevée en 2020. 
Les concepteurs du projet ne partent pas de rien, notre port existe depuis 2 600 ans. Ce Vieux Port, nous l’avons protégé et nous souhaitons le moderniser en conservant l’essentiel, en gardant l’image du paysage urbain sans le défigurer, affirme de son côté le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin. 
Le coût financier de la première phase des travaux, jusqu’en 2013, est estimé à environ 24 millions d’euros. La deuxième phase est chiffrée à une quarantaine de millions d’euros. 
Le maintien de l’activité du port
Aujourd’hui, 80% du périmètre du plan d’eau n’est pas accessible au public. Il s’agit donc de rendre aux Marseillais l’accès à la mer sans dénaturer pour autant l’activité nautique de la ville. Pour ce faire, les aires techniques seront déplacées sur des estacades, sorte de quais flottants, tandis que les locaux des sociétés nautiques seront déplacés plus en arrière sous des ombrières, des structures basses destinées à se protéger d’un rayonnement solaire particulièrement présent dans la cité phocéenne. 
Le quai des Belges
Aujourd’hui, le quai des Belges, c’est neuf voies de circulation séparées par un terre-plein central. En 2013, il n’en restera que quatre, deux pour les voitures et deux pour les bus. Puis l’espace deviendra entièrement piéton avec seulement une emprise de deux voies de bus. Volontairement minéralisé pour rester fidèle à l’histoire urbaine et portuaire du lieu, c’est un sol pavé de granit qui accueillera les piétons. Une grande ombrière en sera l’élément clef. Il s’agit d’amener de l’ombre et du confort en gardant le caractère profond du port, dit encore Michel Desvigne. La mise en lumière viendra conforter la majesté du lieu par l’utilisation de grandes mâtures qui offriront des effets de lumière jouant avec les reflets du port.
Le glacis du Fort Saint-Nicolas
Au pied du Fort Saint-Nicolas, où règne actuellement de manière anarchique l’échangeur routier conduisant notamment au tunnel du Vieux-Port et du Prado-Carrénage, s’étendra une vaste prairie en pente douce vers le port. Elle couvrira l’échangeur, dont certaines fonctions seront supprimées, et abritera de nouvelles activités comme un port à sec, une aire de stationnement pour les autocars ou encore un village nautique ainsi que des cafés et restaurants. 

La chaîne des parcs
Il s’agit de transformer l’ensemble des forts et terrains militaires en un vaste parc. D’une emprise comparable à celle du port, il s’agit surtout de recomposer le paysage végétal de Marseille et sa façade maritime. Il faut une mise en cohérence des lieux qui sont déjà là. Il manque aujourd’hui des maillons, des passages, des cheminements, explique Michel Desvigne. 
La recomposition de la circulation
Autour du Vieux-Port, l’objectif est de diminuer le trafic automobile de transit tout en conservant l’accessibilité aux parkings, de favoriser aussi le réflexe transports en commun. La réorganisation de la circulation automobile est en effet l’un des enjeux majeurs du projet. L’objectif est de ramener à terme les gens sur des parkings relais à l’extérieur du périmètre qui seront mis en continuité avec les transports en commun. Il s’agira aussi de créer autour du Vieux-Port un boulevard urbain largement végétalisé. 

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La Nuit du Commerce

La Nuit du Commerce

Laurent Carratu, Président de Terre de Commerces a le plaisir d’inviter les commerçants à La Nuit du Commerce ce Lundi 22 novembre 2010 au World Trade Center.
 

Plus d’infos sur www.terredecommerces.com
 

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Parcours d'art dans les boutiques

Parcours d’art dans les boutiques

 
Découvrez le programme et les artistes participant à cette première édition organisée par l’association Bourse, Colbert, Vieux Port République et la Galerie Mourlot.
 
Renseignements : Tél.: 04 91 90 68 90 ou 06 16 34 83 45
Galerie Mourlot – 25-27, rue Thubaneau – 13001 Marseille
galeriemourlot@gmail.com
 

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